Tout roule pour la Ligue des ténèbres ! À bord de la Tédesplen, le professeur Nutter, Ginger Astley, Tom et Samantha Wiseman voyagent de monde en monde, cherchant toujours à conquérir l’un d’eux. Leurs plans sans failles se trouvent soudain contrariés par l’Union des parfaits, un groupe qui s’est autoproclamé la Némésis de la Ligue des ténèbres. Combats et coups fourrés s’enchaînent au rythme des voyages. Jusqu’où ira cet affrontement ? Il n’est pas sûr que Sam et ses compagnons en ressortent indemnes… Cette édition regroupe les épisodes 9 à 16, agrémentés d’un épisode bonus : La Chambre forte.
Je voudrai remercier Catherine Loiseau pour sa confiance et de me donner l’opportunité de vous parler de la saison 2 de La Ligue des ténèbres.
Je vais commencer par vous parler de ce que je n’ai pas aimé, je ne vais pas m’étendre dessus mais tout de même.
Je n’aime pas du tout le passé simple ! Je ne m’en cache pas et même l’exprime dans certains groupes de lectures.
Ici, mes yeux ont eu parfois mal en lisant certaines/trop de phrases.
Le deuxième point est une note pour Catherine, l’auteure. Attention aux répétitions !
Sinon j’ai adoré, tout comme la saison 1. C’est une histoire fraîche. Lors des premiers épisodes ont retrouve l’équipe de bras cassés que constitue la ligue, un peu à la Team Rocket (Pokémon). J’ai eu peur que cela ne soit un remake du premier intégrale… mais non.
Leur rencontre avec L’Union des parfaits a changé la donne, ils rentrent dans une quête et de cela j’ai beaucoup aimé. Les personnages ont dû évoluer, de monde en mode, chacun dans leurs compétences dans une bataille entre le bien et le mal mais… Est-ce que les ténèbres sont ils synonyme du mal ?
Nous ne sommes plus dans le fantastique teinté de steampunk mais nous entrons aussi dans des univers de fantasy, de science fiction. Catherine Loiseau nous régale avec ces changements de mondes et nous emmène aspire avec sa plume.
La Ligue des ténèbres est pour moi une très agréable découverte, à la limite du coup de coeur.
Très bonne lecture dans le multi-mondes !